Un consortium réunissant des scientifiques de l’INRAE, de l’Université de Bordeaux et de l’Université Bretagne Sud a réussi à reprogrammer des enzymes appelées "LPMO" qui reconnaissent la surface des fibres de cellulose, principal composé du bois, pour leur faire reconnaître différents types de plastiques. Ces résultats, publiés dans AES Chem&Bio Engineering, permettent d’envisager la mise…
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