et encore moins d'emprnter Cette mesure aurait trois avantages pour l’Etat, le citoyen et le contribuable :
Pour Fabrice Henriot, spécialiste de la démolition automobile et de la commercialisation de la pièce détachée, « réparer le parc automobile de l’Etat avec des pièces recyclées, voilà qui est non seulement légitime – Grenelle de l’environnement oblige - mais indispensable : c’est une mesure simple qui permet de réduire à la fois son empreinte carbone et sa facture. Dans ce domaine aussi, l’Etat se doit d’innover et de donner l’exemple. »
Grâce aux obligations européennes de recyclage qui frôlent le 100 %, le secteur automobile est devenu le secteur vert par excellence. La Directive européenne de septembre 2000 « VHU 2000/53 » impose en effet depuis 2006 le recyclage à 85 % du poids d’une voiture et ce taux passera à 95 % en 2015.
Une chose est sure : on ne pourra pas lui reprocher de ne pas penser, aussi, à notre porte monnaie. Et ça, c'est pas bête... Car après tout, changer de bagnole à tour de bras, au lieu de montrer l'exemple, non seulement c'est pas bien, mais ça coûte cher, voire très cher, aux cochons de payant que nous sommes. En tout cas, si la proposition n'est pas suivie d'effet , elle reste à méditer...