Compostage et méthanisation : Veolia assure !
Depuis les années 80, des progrès conséquents ont été accomplis pour le traitement des pollutions. Veolia Propreté s'est fortement impliqué dans cette évolution et s’est donné pour objectif de réaliser une part croissante de son activité dans les filières de dépollution et de valorisation des déchets fermentescibles, notamment. Bref, le Groupe s'est donné les moyens de conquérir ce marché et prendre la part qui lui revient...
Veolia Propreté développe des voies nouvelles et diversifiées pour la production de compost et conjugue les modes d’optimisation. Il produit ainsi des fertilisants (utilisés par de nombreux agriculteurs pour enrichir leurs sols) en matière organique, grâce au compostage et la méthanisation de déchets organiques fermentescibles. Le Groupe traite également les déjections animales, ou encore collecte la biomasse sèche ou humide à des fins de valorisation énergétique en chauffage. Ces actions s’inscrivent pleinement dans les objectifs de la Politique Agricole Commune : mesures environnementales, développement rural et diversification économique. De plus, il est bon de rappeler que l’érosion des sols, leur tassement, leur salinisation, les inondations et glissements de terrain qui découlent des mauvais traitements qu'ils ont subis durant plusieurs décades sont l’affaire de tous. Veolia s’engage également à soutenir des actions de sensibilisation sur la richesse du patrimoine sol français et sur les dangers à voir disparaître un capital que beaucoup nous envient.
La valorisation de la matière organique en compost contribue à la tenue des sols, favorise l’activité biologique des terres et leur fertilité, et participe à la lutte contre l’effet de serre par augmentation de la matière qui stocke le carbone dans le sol. De plus, Veolia Propreté développe une nouvelle activité de valorisation des déchets en énergie renouvelable ayant un impact neutre sur l’effet de serre. Le sol s’avère être une source d’énergie méconnue qui prend tout son sens dans une ère de raréfaction des matières premières, d’économie d’énergie fossile et de diminution des GES : la sylviculture, les industries de transformation du bois, les déchets industriels et ménagers ainsi que les déchets verts sont ainsi des sources de gisements non négligeables pour produire de la chaleur ou de l’électricité, ainsi que des biocombustibles et des biocarburants.