A l'occasion de la prochaine Journée du gaspillage alimentaire (16 octobre) et dans un contexte de mobilisation mondiale autour des 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) définis par les Nations Unies, Elior Group lance sa stratégie RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), baptisée "Elior Group Positive Foodprint Plan". Au programme notamment, la valorisation des déchets alimentaires…
Elior Group (un des leaders mondiaux de la restauration et des services) s’engage autour des 4 objectifs de développement durable sur lesquels il peut avoir le plus d’effet d’ici 2025 : les enjeux de santé publique liés à une mauvaise alimentation, les problèmes environnementaux causés par l’agriculture, la progression du gaspillage alimentaire, et le besoin d’emplois décents.
Cette stratégie RSE s’inscrit dans une démarche de progrès permanent et sert une vision ambitieuse : laisser une empreinte alimentaire positive ("Positive Foodprint") du champ à la fourchette, en lien avec toutes les parties prenantes du Groupe. Elior Group s’engage ainsi autour de 4 objectifs en matière de durabilité, à horizon 2025 :
100% des convives à même de choisir des aliments sains et bons ; 10 des principales filières de produits utilisées par le Groupe répondant à des critères d’approvisionnement durable et local ; 100% des déchets alimentaires valorisés ; 70% des managers du Groupe issus de promotions internes afin de contribuer à leur développement et à la diversité. "En tant que leader, nous devons engager des actions empreintes d’une dynamique volontariste afin de contribuer à la résolution des problématiques environnementales et sociétales liées à notre métier. Avec le Positive Foodprint Plan, Elior Group s’engage à laisser une empreinte alimentaire positive d’ici 2025 grâce à des approvisionnements durables, des choix sains dans les restaurants, la réduction du gaspillage alimentaire, et la réalisation professionnelle de ses collaborateurs", indique Philippe Salle, PDG du Groupe.
En rapport avec le sujet, nous vous renvoyons à notre exposé : Biodéchets en restauration : une gestion « aux p’tits oignons » s’impose.