Déchets nucléaires : incident mineur dans la Manche
Vendredi dernier, dans un atelier de traitement chimique du site Areva de la Hague (voir ici), la température d’une solution de produits de fission a dépassé le seuil autorisé par la règle d’exploitation interne (65°C contre 60°C). Les solutions de produits de fission présentes dans cet atelier, issues du traitement des combustibles usés, sont entreposées dans des cuves "tampon" en vue de leur concentration avant vitrification. L’écart provient d’un défaut de surveillance de la montée en température lors du transfert des solutions de cuve à cuve. "Cet écart n’a pas eu d’impact sur la sûreté des installations ; le système de refroidissement des cuves est resté disponible et opérationnel durant la période", indique le Groupe. En raison du non-respect d’une exigence d’exploitation, Areva a proposé à l’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) de classer cet événement au niveau 1 de l’échelle INES (International Nuclear Event Scale) graduée de 0 à 7.
Vendredi dernier, dans un atelier de traitement chimique du site Areva de la Hague (voir ici), la température d’une solution de produits de fission a dépassé le seuil autorisé par la règle d’exploitation interne (65°C contre 60°C). Les solutions de produits de fission présentes dans cet atelier, issues du traitement des combustibles usés, sont entreposées dans des cuves "tampon" en vue de leur concentration avant vitrification. L’écart provient d’un défaut de surveillance de la montée en température lors du transfert des solutions de cuve à cuve. "Cet écart n’a pas eu d’impact sur la sûreté des installations ; le système de refroidissement des cuves est resté disponible et opérationnel durant la période", indique le Groupe. En raison du non-respect d’une exigence d’exploitation, Areva a proposé à l’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) de classer cet événement au niveau 1 de l’échelle INES (International Nuclear Event Scale) graduée de 0 à 7.