Eco-conception : Lafuma encore récompensé …
D’aucuns vont finir par jaser… Lafuma rafle encore la mise. À l’occasion du dernier Salon Pollutec Horizons, le Ministère de l’Ecologie a décerné à la société Lafuma le 2nd Prix « Ecoproduit pour le Développement Durable 2007 » pour son fauteuil de relaxation RSX. Récompensé pour son avance, ce fauteuil écoconçu est confortable, résistant et esthétique.
Engagé depuis plus de 15 ans dans une démarche Développement Durable, Lafuma travaille sur l’ensemble du cycle de vie de ses produits afin de réduire les impacts environnementaux qui en découlent. Ainsi, le fauteuil de relaxation RSX primé intègre l’éco-conception aux différents stades de sa fabrication :
Lafuma a sélectionné les matériaux utilisés pour leurs performances environnementales et techniques. Les structures en tube acier HLE (Haute Limite Elastique) ont une résistance qui permet de minimiser l’épaisseur du tube de 30 % et sont composées à 50% d’acier recyclé. Le choix s’est également porté sur une toile ajourée GREENOLENE® sans enduction PVC et des accoudoirs en bois de hêtre français provenant de forêts gérées durablement.
C’est sur le site de production de la marque à Anneyron (Drôme), que le mobilier de jardin, dont le fauteuil de relaxation RSX, est entièrement fabriqué. Les composants utilisés sont pour la plupart d’origine locale. Lafuma donne la priorité au Développement Economique Local. Enfin, l’évolution des procédés de fabrication a permis des améliorations environnementales significatives. Entre 1998 et 2007, elles ont permis une réduction de la consommation d’eau de 60%, une réduction de la consommation électrique de 5%, une réduction de la consommation de gaz de 27%, une suppression totale de l’utilisation du fuel, et pour finir, une importante réduction des déchets.
Les nouvelles géométries et découpes de l’emballage, en carton recyclé à 80%, permettent de réaliser d’importantes économies de carton et de renforcer la résistance du packaging. Parallèlement un pliage spécifique du fauteuil permet de réduire d’environ 20% le volume de l’emballage, engendrant une diminution conséquente des volumes transportés et stockés.