Michel Gardes, nouveau président de la Fédération des Chambres syndicales de l’industrie du verre

Le 13/10/2005 à 13:28  

Michel Gardes, nouveau président de la Fédération des Chambres syndicales de l’industrie du verre

Michel Gardes Né en février 1949 à Toulouse, Michel Gardes, âgé de 56 ans, vient d’être nommé à la tête de la Fédération des Chambres syndicales de l’industrie du verre et succède à Jacques Demarty.

Diplômé de l’Ecole supérieure de Commerce de Toulouse et CPA de Lyon, il a travaillé 20 ans au service du verre au sein de la Verrerie Ouvrière d’Albi et de Saint-Gobain Emballage en tant que Directeur commercial et marketing.

Après avoir travaillé pendant 20 ans au service de l’industrie du verre, Michel Gardes, qui occupait le poste de Directeur général de Saint-Gobain Calmar Europe depuis 2001, vient d’être nommé à la tête de la Fédération des Chambres syndicales de l’industrie du verre.
Pour mémoire, la Fédération des Chambres syndicales de l’industrie du verre regroupe en son sein les industriels du verre d’emballage, du verre plat, du verre technique et du verre de silice. Elle représente les plus gros acteurs mondiaux de ce secteur (Arc International, BSN Glasspack OI, Corning, Graverbel, Pilkington, Saint-Gobain…) et génère un chiffre d’affaires de 4,3 millions d’euros avec un effectif de 26 000 personnes pour l’année 2004.

L’industrie du verre poursuit sont développement, grâce à de nombreuses innovations aussi bien sur les marchés du verre d’emballages avec notamment de multiples créations de formes et de teintes personnalisée, que sur celui du verre plat avec le succès des vitrages peu émissifs et de contrôle solaire permettant d’appréciables économies d’énergie et de réduire ses émissions de CO².

Les verriers français font plus que jamais preuve de leur dynamisme et de leur savoir faire aux quatre coins de la planète, et ce, malgré un marché à faible croissance et une contexte de hausse généralisée de leurs coûts de production due à l’impact direct et indirect des augmentations brutales des prix du pétrole, du gaz et de l’électricité impossible aujourd’hui à absorber par des accroissements de productivité.