Morbihan : du VHU à la déconstruction automobile...
A la clé, la création de 56 emplois, dont 26 d'entrée de jeu, étant entendu que les responsables de la future entité précisent que « les emplois sur la ligne de déconstruction automobile ne nécessitent pas d'expérience ou de diplôme : une formation d'un mois sera assurée au sein de l'entreprise pour tout nouveau salarié. D'autres postes, en logistique, sont également à pourvoir. Les premiers recrutements devraient démarrer en février 2013 »...
Deux types de pièces résulteront du travail de déconstruction : d'une part les pièces qui peuvent être réutilisées, donc revendues, en l'état, et puis d'autre part, celles qui devront être broyées et recyclées, c'est à dire réinjectées dans l'industrie.
Ces fractions, qui concernent, le verre, le plastique, l'acier, ou l'aluminium seront revendues à des sociéts tierces.
Les travaux devbraient démarrer cet été ; ils prévoient un bâtiment de 4 300 m² qui abritera la ligne de déconstruction, avec autour, un site de 4,5 ha, afin de réceptionner et stocker les VHU.
D'ores et déjà, ça ralote dans les environs; les riverains ont déjà manifesté leurs inquiétudes quant au bruit généré par ce type d'activité ; Patrice le Blevennec se veut rassurant : « le bâtiment a été conçu de manière à étouffer le bruit. Je peux assurer que les voisins de l'usine ne seront pas gênés »...