Pizzorno Environnement ne connaît pas la crise

Le 17/05/2010 à 15:47  

Pizzorno Environnement ne connaît pas la crise
hausse du CA Le Groupe spécialisé dans les déchets, la propreté et l'eau vient d'annoncer un chiffre d’affaires consolidé de 41,11 millions d’euros pour les 3 premiers mois de l’année 2010, en croissance de 13,7% par rapport au 1er trimestre 2009 (36,15 M€). De quoi faire des jaloux...

 "Pizzorno Environnement confirme ses solides fondamentaux au travers de l’ensemble de ses activités. Plusieurs facteurs ont porté les bonnes performances de chacune des branches du Groupe confirmant sur ce début d’année son dynamisme en terme de développement tant en France qu’à l’international", peut-on lire dans un communiqué. Dans la continuité du dernier trimestre 2009, l’activité a bénéficié du démarrage de nombreux contrats remportés par les équipes (Aboncourt en Moselle, Paris, Lyon et Tunisie). Le chiffre d’affaires à l’international représente 21% de l’activité du premier trimestre 2010 à 8,48 millions d’euros.

 Après les villes de Pontoise et Rungis, le Groupe élargit sa présence géographique en Ile-de-France, avec un nouveau contrat de collecte d’ordures ménagères et sélectives pour la ville de Mesnil-le-Roi dans l’Oise (300 K€/an sur 3 ans). Par ailleurs, la Communauté d’Agglomération Dracénoise a confié à Pizzorno Environnement le transport des déchets ménagers et assimilés pour une durée de 4 années (1,2 M€/an).

 De plus, la ville de Gap lui a renouvelé sa confiance pour la gestion et l’exploitation de la déchèterie (550 K€/an sur 5 ans), ainsi que le Sivom du Golfe (Ste-Maxime Grimaud) pour le transport et le tri de la collecte sélective (200 K€/an sur 3 ans). "Ces nouveaux contrats confirment la bonne dynamique commerciale observée et conforte Pizzorno Environnement dans sa stratégie de développement", indique le Groupe

 Conforté par ces bonnes performances du premier trimestre, Pizzorno Environnement reste confiant pour les objectifs fixés : poursuite de la croissance de son chiffre d’affaires et augmentation de son Excedent Brut d’Exploitation (EBE).