Recyclage des batteries : nouvel épisode de la Recylex story
Le Groupe Recylex n’a aucun lien quel qu’il soit avec la société Indra et cette démarche est totalement infondée.
A la demande de Recylex SA, le tribunal administratif de Lille a ordonné ce jour la suspension de la mise en demeure de verser 6 millions d’euros sans fondement légal et la suspension de la décision de procéder, en-dehors de toute compétence pour ce faire, à la saisie des biens de la société, en considérant que ces décisions portaient une atteinte grave et manifestement illégale aux droits de Recylex SA.
Le tribunal administratif de Lille a par ailleurs enjoint aux maires des communes d’Auby, de Rouvroy et d’Evin-Malmaison, à l’origine de ces courriers et déclarations, de s’abstenir de pénétrer dans les locaux de la société en vue de procéder à la saisie de ses biens.
Recylex SA, dont la direction générale a été entièrement renouvelée depuis 2005, fait face à ses obligations, tant celles liées à la réhabilitation de ses anciennes mines et friches industrielles que celles intégrées dans son plan de continuation adopté par le tribunal de Commerce de Paris en 2005.
La priorité de Recylex SA demeure la sauvegarde des 650 emplois du Groupe en Europe et la bonne exécution de ce plan de continuation qui permet le maintien de son activité.