On pratique le sur mesure, histoire de faire encore mieux.
Ici, on rétrécit la taille des opercules des conteneurs pour éviter « les bêtises », là, on passe du porte à porte à l’apport volontaire au pied des immeubles
Et ainsi, bon an mal an, parvient peu à peu, ou en revient à un taux d’erreur de 2 à 3%, comme le constatent les responsables déchets de la ville.
Axe majeur lui aussi consiste simultanément à réduire à la source. Objectif fixé, 7%. Pour se faire une idée précise de la chose, 7%, ce sont 17 000 tonnes en moins, et par an, dans les 5 ans qui viennent.
On envisage donc de composter mieux ; sont concernées, 9000 tonnes par an. Pour booster, la production, des subventions…
Et puis, parce qu’on n’y va pas de main morte, ceux qui ne payent pas, vont devoir mettre a mai au portefeuille. Ainsi, entreprises et administrations seront peu à peu assujetties à la redevance spéciale selon un calendrier qui s’échelonnera de 2013 à 2015, l’idée mise en avant étant de « gagner » 6 700 tonnes ?
« Ces deux familles de producteurs de déchets précèderont les ménages pour lesquels la communauté urbaine a fait le choix de la redevance en lieu et place de la taxe ; c’est le mode le plus clair, le plus juste et le plus incitatif », indique la vice-présidente de la CUS, en charge des déchets. Si la préférence irait volontiers au volume, « rien n’est encore définitivement défini pour ce qui est du mode de facturation »…