Terra Verde : pour valoriser au mieux les sites pollués
Terra Verde Capital est le premier groupe français indépendant proposant aux entreprises, aux promoteurs et aux collectivités locales une approche globale sécurisée permettant la création de foncier à partir de terrains pollués. Acquéreur ou conseil, elle analyse les risques, identifie les dépollueurs adaptés, gère les risques résiduels, et optimise le cas échéant les contrats de transfert de propriété par le biais d’outils d’assurances...
Une solution nouvelle en France
C’est après avoir étudié la pratique américaine des brownfield developers que Terra Verde Capital a développé des outils d’analyses et mis au point des contrats de cession spécifiques adaptés à la réglementation environnementale française.
L’efficacité de Terra Verde Capital résulte de son approche résolument multidisciplinaire (technique, juridique, assurance, promotion).
Terra Verde Capital utilise ses méthodes propriétaires pour :
procéder aux audits environnementaux
établir la meilleur réutilisation d’un site en prenant en compte le ratio besoins urbain / coûts de dépollution / risques
identifier les entreprises de dépollution les mieux adaptées en fonction de la nature et de l’étendue de la pollution
négocier avec les collectivités locales la meilleure valorisation possible des sites
gérer les risques portant tant sur les éventuels dépassement de frais de dépollution que sur la responsabilité environnementale des vendeurs et acquéreurs au travers de contrats spécifiques et d’outils d’assurance récemment adaptés au marché européen.
L’objectif recherché est de gérer les risques afin de permettre au propriétaire actuel à se défaire d’un site qu’il n’exploite plus tout en optimisant la valorisation du site dans l’intérêt des collectivités locales et de l’acquéreur final.
L’acteur essentiel à la réhabilitation de sites pollués
Des terrains pollués demeurent non utilisés alors que la France fait face à une pénurie de foncier. Terra Verde Capital apporte les solutions nécessaires à la gestion de ce paradoxe.
L’offre inexploitée
Les propriétaires hésitent à vendre des biens immobiliers qu’ils savent comporter un risque environnemental par crainte que la transaction, et les contrôles qui vont l’accompagner, ne mettent en évidence la situation réelle. Ce qui pourrait avoir pour effet de les obliger à une remise en état dont ils sont incapables de mesurer le coût ou de les exposer à des actions en responsabilité de la part de tiers qui prendraient conscience de la pollution.
Les exploitants de sites pollués poursuivent parfois leur exploitation au-delà de ce qui est raisonnable, ou maintiennent un semblant d’activité, parce qu’ils craignent d’avoir à encourir des frais qu’ils ne sont pas à même d’apprécier.
La demande inassouvie
Les promoteurs immobiliers souffrent d’une pénurie de terrains à bâtir alors qu’il y a abondance de terrains et d’immeubles proches des zones d’habitation et des réseaux de transport, laissés à l’abandon ou insuffisamment valorisés. Ils ne souhaitent pas acheter ces sites susceptibles d’avoir été pollués de peur d’encourir une responsabilité et des frais.
Les collectivités locales souffrent du maintien de quartiers pollués qui tendent à devenir des zones de pauvreté et de délinquance. De plus, elles se voient contraintes de développer de nouvelles zones urbaines dans des lieux nécessitant la mise en place d’infrastructures coûteuses (transport, VRD, etc…).
Alors que les propriétaires font une mauvaise utilisation de leurs actifs et encourent des risques de plus en plus importants, des surfaces considérables, gelées ou insuffisamment utilisées, continuent de menacer l’environnement pendant que les villes grignotent les campagnes.