Trafigura : on remet le couvert…
Une procédure de recours est lancée aux Pays-Bas… Depuis ce mercredi, Trafigura fait l’objet d’une enquête menée par le procureur public des Pays-Bas. C'est du moins ce qu'annonce Greenpeace...
A l’origine, souvenez vous, des déchets toxiques déversés illégalement en Côte d’Ivoire, avec, à la clé une pollution grave et des incidences mortelles. C'était en 2006...
La multinationale néerlandaise est soupçonnée d’avoir payé des pots de vin à un homme politique jamaïcain en 2006. L’ONG rappelle qu’en 2010, l’entreprise Trafigura Beheer BV a été condamnée pour avoir exporté de façon illégale des déchets toxiques depuis le port d’Amsterdam jusqu’en Côte d’Ivoire à bord d’un cargo, le Probo Koala. Mais la compagnie n’a pas été poursuivie pour le rejet de ces déchets, qui auraient provoqué le décès d’une dizaine de personnes et des problèmes de santé chez des milliers d’autres.
Dénonçant le problème de compétence, "qui a servi d’excuse jusqu’à présent, pour ne pas rechercher la vérité dans l’affaire ivoirienne, Greenpeace a donc lancé une procédure de recours au Pays-Bas". La Cour d’appel de La Haye devra décider dans les deux mois qui viennent, si des poursuites seront finalement engagées, ou non...
Affaire à suivre, encore...
Une procédure de recours est lancée aux Pays-Bas… Depuis ce mercredi, Trafigura fait l’objet d’une enquête menée par le procureur public des Pays-Bas. C'est du moins ce qu'annonce Greenpeace...
A l’origine, souvenez vous, des déchets toxiques déversés illégalement en Côte d’Ivoire, avec, à la clé une pollution grave et des incidences mortelles. C'était en 2006...
La multinationale néerlandaise est soupçonnée d’avoir payé des pots de vin à un homme politique jamaïcain en 2006. L’ONG rappelle qu’en 2010, l’entreprise Trafigura Beheer BV a été condamnée pour avoir exporté de façon illégale des déchets toxiques depuis le port d’Amsterdam jusqu’en Côte d’Ivoire à bord d’un cargo, le Probo Koala. Mais la compagnie n’a pas été poursuivie pour le rejet de ces déchets, qui auraient provoqué le décès d’une dizaine de personnes et des problèmes de santé chez des milliers d’autres.
Dénonçant le problème de compétence, "qui a servi d’excuse jusqu’à présent, pour ne pas rechercher la vérité dans l’affaire ivoirienne, Greenpeace a donc lancé une procédure de recours au Pays-Bas". La Cour d’appel de La Haye devra décider dans les deux mois qui viennent, si des poursuites seront finalement engagées, ou non...
Affaire à suivre, encore...